Comment choisir les chevaux à grosses cotes

Un turfiste joue les chevaux qui lui semblent avoir le plus de chance d'être à l'arrivée. Qu'importe la cote !

Mais il faut bien admettre que les cotes reflètent souvent les chances des chevaux et 50/1, ce n'est pas bon signe.

Il y a quand même des courses où les cotes sont moins fiables...

Les handicaps divisés :

Théoriquement tous les chevaux ont la même chance grâce à l'échelle de poid. On peut le vérifier très souvent dans les quintés...

Les courses avec des chevaux de province :

Que ce soient des courses parisiennes avec des chevaux de province ou des courses provinciales avec des chevaux parisiens, les chances des provinciaux sont souvent sous-estimées. Cela vient surement du fait qu'on les connait moins. N'oubliez pas qu'un cheval ne monte pas courir à Paris s'il ne pense pas avoir toutes ses chances. Et il peut être redoutable sur ses terres !

Les courses étrangères :

Dès qu'un cheval français va tenter sa chance dans une course à l'étranger, toute la presse hippique en parle. Du coup, sa cote devient si basse qu'elle ne veut plus dire grand-chose. Il y a alors de bonnes affaires à faire avec les autres participants.

Le même phénomène de chauvinisme se produit souvent si un cheval étranger vient courir en France. Sa cote est très haute alors qu'il effectue souvent le déplacement avec des ambitions...

En conclusion, jouer des chevaux à grosse cote, oui, mais pas dans n'importe quelle course !

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